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v i e   e t   m i s s i o n   d e s   s oe u r s 

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Sœur Marinez Bareta, missionnaire aux Philippines, nous a quittés ce 11 mai 2024 dans sa 56ème année de vie et 34 années de vie religieuse. Accompagnons-la ainsi que sa famille de nos prières.

La Congrégation, la Province du Brésil ainsi que la Délégation Bleue des Philippines ont la tristesse d'annoncer le décès aujourd'hui, 11 mai 2024, de Sœur Marinez Bareta, Brésilienne en mission aux Philippines, des suites d'une infection généralisée.
On se souviendra de Sœur Marinez pour sa joie, son dynamisme, sa détermination et sa disponibilité pour la mission. Au Brésil, elle a consacré de nombreuses années de sa vie religieuse au service des vocations, aux services socio-éducatifs et à l'accompagnement des groupes de Laïcs, "Les Missionnaires Laïcs Bleus".
Actuellement aux Philippines, où elle était depuis neuf ans, elle a vécu sa mission dans la Pastorale des Enfants et la Pastorale des Prisons, dans des projets alternatifs d'Economie Solidaire, ainsi que dans l'accompagnement des jeunes religieuses de l'Immaculée Conception de Castres.
Nous remercions Dieu pour le don de sa vie et lui demandons de l'accueillir dans sa gloire pour compléter la Famille Bleue qui célèbre déjà sa Pâque définitive au ciel.
Nous comptons sur la prière de tous pour sa famille au Brésil.

témoignages reçus au moment du décès de soeur Marinez Bareta

11 mai 2024

Chères sœurs, membres de cette belle famille que nous représentons partout dans le monde,
Nous avons vécu une fois de plus une expérience forte qui prouve, s'il en était besoin, que nous sommes une grande famille. Ces trois jours de communion dans la prière et l'affection pour accompagner notre chère Marinez dans sa Rencontre avec son Bien-Aimé et pour soutenir nos sœurs de la Délégation des Philippines sont tout simplement un miracle, peut-être pas celui que nous avons demandé, mais celui que Dieu a accompli sous nos yeux. Merci donc au Seigneur qui ne fait jamais rien de mal. Merci à chacun d'entre vous pour cet enthousiasme fraternel qui vient du cœur. Merci pour vos prières, votre proximité et votre solidarité, qui sont une source de consolation pour tous et spécialement pour nos sœurs des Philippines.


Le beau sourire de Marinez, sa gentillesse, sa joie de vivre, sa passion pour la mission, son amour pour la congrégation flottent sur nous et rayonnent dans nos cœurs. Marinez, merci pour le membre exceptionnel que tu as été pour notre famille, pour ta famille et pour toutes les personnes que le Seigneur a mises sur ton chemin au cours de ton pèlerinage sur cette terre qui vient de s'achever. Tu continueras à nous aimer et à nous accompagner avec Jésus Sauveur, Sainte Emilie et toute la famille bleue du Ciel.

A vous, chères sœurs de la Délégation des Philippines, surprises par cette visite de Dieu au milieu de vous, merci du fond du cœur pour votre mobilisation, pour votre présence près de Marinez malgré les risques encourus. Vous nous montrez qu'il est possible, comme le disait Émilie, de donner sa vie jusqu'à la mort s'il le faut. Merci d'avoir été là, non loin d'elle, jusqu'au bout, pour l'accompagner sur son chemin, comme Marie au pied de la croix de Jésus. Merci d'avoir recueilli pour nous ses dernières paroles, merci pour l'hommage que vous lui rendez en ce moment avec la réception sobre et émouvante de ses cendres et les funérailles profondes et bien préparées. Merci Merci Merci Merci Merci ! !!
Soyez assurés que nous ne vous laisserons pas seules face aux conséquences de ce départ inattendu. Avec Emilie, soyez forte dans la force de Jésus Crucifié.
Adieu Marinez, nous prions pour vous, mais surtout prie pour nous !

(Sœur Marie Béatrice - générale)

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"Elle a passé ses derniers jours à l'endroit où elle souhaitait ardemment se trouver. Elle rêvait de la mission aux Philippines et m'a dit un jour qu'elle avait attendu 25 ans pour réaliser ce souhait. Elle s'y est sentie très bien accueillie. Un jour, elle m'a parlé des nombreux défis qu'elle a dû relever et du fait qu'au début, elle ne savait pas parler la langue. Je me souviens qu'elle m'a dit qu'elle utilisait tout ce qu'elle pouvait pour communiquer - visages et bouche - et elle m'a également dit que les gens étaient très affectueux à son égard.
Je suis assise ici, entre larmes et rires, et je regarde un film de souvenirs se dérouler dans ma tête."


Message du Père José Navarro, un jésuite de la République dominicaine qui l'a connue dans le cadre de la Pastorale de l'Enfant.

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Sœur Joaninha vit ce moment douloureux avec les Migrants en Amazonie 

"Ce que nous vivons ici, vraiment, est une chose cruelle. Cela atteint le cœur de l'humanité. Les gens sont traités comme des objets, comme des déchets, et ici, au Pérou, c'est la première fois que nous le voyons. C'est vraiment une chose cruelle. L'expression vient de la missionnaire Joaninha Honório Madeira, de l'ordre de l'Immaculée Conception. Connue sous le nom de Sœur Joaninha, elle fait partie du réseau ecclésial panamazonien, dont le travail consiste à offrir une assistance sociale et religieuse aux résidents des communautés urbaines, riveraines et indigènes de la triple frontière.

 
Aux côtés d'autres dirigeants catholiques, elle s'est trouvée en première ligne face aux boucliers et aux bombes lancés par la police péruvienne. "La police a été extrêmement violente.  Avant, nous avions seulement entendu dire qu'ellel était violente, mais hier (16 février), nous l'avons vu. On a failli être battus aussi. Le premier groupe [d'immigrants qui ont franchi le blocus] a été traité très violemment. Trois femmes enceintes se sont retrouvées au centre de santé", dit-elle.

 

Pour la missionnaire catholique, les immigrants haïtiens et africains souffrent également du racisme. Selon Sœur Joaninha, les immigrants de pays comme le Venezuela, la Colombie et Cuba parviennent à passer d'un côté de la frontière à l'autre. "Nous sommes témoins de racisme ici à la frontière. Des personnes de différents pays y passent. Venezuela, Cuba, Brésil. Chili, Argentine. Tout le monde passe. Maintenant, quand il s'agit d'un Haïtien ou d'un Africain, la situation est différente et ils finissent par tomber entre les mains d'exploiteurs", rapporte-t-elle.

 

La missionnaire rappelle que les personnes de toute autre nationalité paient 5 reais ou soles (monnaie péruvienne) pour traverser la rivière Acre. En revanche, les Haïtiens et les Africains doivent payer 50 dollars, plus 200 dollars pour se rendre à Puerto Maldonado. Pour un trajet moyen, les camionnettes reliant Iñapari à la capitale de Madre de Dios coûtent 40 soles - l'équivalent de 15 dollars. Du côté brésilien, les immigrants sont également victimes d'extorsion de la part des chauffeurs de taxi. Pour le court trajet entre l'entrée d'Assis Brasil et le pont binational, on peut payer jusqu'à 100 réals pour un trajet de moins de huit kilomètres. 

  

"Il s'agit d'une exploitation. La frontière est devenue un moyen de tirer profit de la souffrance humaine. Nous cherchons où nous pouvons dénoncer cela. Avec la fermeture de la frontière, le fleuve est devenu la solution pour traverser. Les Haïtiens sont exploités à cause de la couleur de leur peau. Nous le voyons de nos propres yeux", déclare la missionnaire Joaninha. 

(Article Amazonia Real)

témoignage de
soeur joaninha honório Madeira, missionnaire du réseau itinérant de la Repam en amazonie

février - mars 2021

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Le reportage d'Amazônia Real suivait le drame des immigrants qui tentaient de quitter le Brésil.

"J'ai beaucoup appris pendant ces 23 jours de présence gratuite auprès de mes frères et sœurs, Africains, Haïtiens, Congolais, de la Côte d'Ivoire, du Bangladesh, du Pakistan, de l'Inde...
Merci de me permettre de vivre l'Évangile de l'accueil : "J'étais un étranger et vous m'avez accueilli dans votre ville. 

Joaninha Honório Madeira cic

Equipe missionnaire Itinérante de l'Amazonie.

Dans la joie pascale, je chante avec vous un vibrant Alléluia!

Bien Chères Sœurs et Famille charismatique,

 

Il y a un an de cela, vous avez accueilli comme corps, avec joie, confiance et foi, le choix du Pape François sur ma personne par la nomination de Consulteur à la CIVCSVA. Un an plus tard, je voudrais vous dire un merci sincère pour votre soutien, votre accompagnement et votre solidarité. Au début, j’étais perturbée et me demandais si cela était vrai mais, les mois qui ont suivi, je n’avais plus besoin de me poser des questions.

Je remercie la Congrégation qui m’a permis d’avoir des sœurs collaboratrices dans divers continents. Régulièrement, elles portent cette mission dans la prière. Certaines me donnent des nouvelles sur la vie consacrée dans leur région. Ajoutées à d’autres collaborateurs, elles m’aident à avoir des horizons plus larges et à m’ouvrir à l’universel. Merci à Cecilia Bentacourt, à Marluce, à Elvia, à Laure Deymier, à Carme Boxadera et à Anne Béatrice Faye. La Congrégation m’a aussi permis de faire un bain linguistique pour apprendre l’italien. Je renforce aussi l’anglais et l’espagnol.

Les rencontres faites au niveau de la CIVCSVA et la grande réunion de consulteurs qu’on a eu m’ont encouragée et apaisée. Je me suis sentie fille de l’Eglise, accueillie et écoutée. La charge n’est pas aussi pesante dans la mesure où c’est de temps en temps et chaque consulteur peut continuer la mission qui lui est confiée dans son institut ou dans l’Eglise sans surcharge. Les profils des consulteurs sont variés : des évêques, quelques laïcs, des consacrés ayant des expériences et compétences diverses, des professionnels, des supérieurs généraux, une moniale…

Comme théologienne, la nomination m’a fait davantage connaître aussi, je réponds aux diverses demandes intercontinentales selon ma disponibilité. Finalement, quelle belle expérience d’Eglise ! J’anime de temps en temps des conférences, des réunions, j’accompagne des équipes d’animations, des chapitres, des personnes aussi… finalement, je reçois plus que je ne donne. Ces rencontres virtuelles ou en présentiel sont extrêmement riches et formatrices et me donnent l’opportunité de vivre au vif le Quatrième Vœu dans la rencontre avec les personnes concrètes ou les divers groupes.

Mais au quotidien, c’est grâce à la communauté formatrice formidable avec laquelle je vis que la mission confiée acquiert une impulsion nouvelle. Nous sommes deux sœurs, Sœur Irène Ekye Kaka et moi, deux postulantes et deux aspirantes. La joie et la paix, l’investissement dans la croissance des jeunes est pour moi un service concret de la vie religieuse CIC, ainsi que la disponibilité pour le service de la formation dans la Province, la REPA et l’Eglise.

A côté de cette belle communauté que nous formons, nous avons en charge la communauté éducative du Complexe Scolaire Mère Jean Gabriel qui compte 1434 jeunes et 125 employés. Une belle synergie où des laïcs et cinq instituts de vie consacrée interagissent au service de l’éducation des enfants et des jeunes, selon le charisme de Sainte Emilie. Animer, accompagner, former et superviser en cheminant ensemble, telle est notre vision inspirée du Projet Educatif de la Congrégation (PEC) et de la pratique d’Emilie.

Comme Marie Madeleine bouleversée par l’appel du Ressuscité, je me sens appelée par mon nom et, le Ressuscité, à chaque eucharistie vient de manière particulière me renouveler son amour et sa confiance. Aussi, je me sens missionnaire de la résurrection, petite servante fragile, bien – aimée de Dieu et inondée de sa miséricorde.

Dieu nous comble Alléluia !, que son nom soit béni, que vous soyez vous aussi bénis pour ce que vous êtes et que vous faîtes pour l’avancée du Règne de Dieu et pour l’Eglise en marche synodale.

Sainte Emilie veille sur nous avec une sollicitude maternelle incroyable! Priez encore pour moi, moi aussi, je vous porte dans mon cœur et ma prière.

Encore, Joyeuses Pâques !

 

Fraternellement,

Marie Sidonie, cic

témoignage de
soeur Sidonie oyembo un an après avoir reçu sa mission au vatican

avril 2022

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Marie Sidonie OYEMBO

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Sr Marie Sidonie nommée par le pape François

La Congrégation est heureuse d'apprendre ce 19 février la nomination de Sr Marie Sidonie Oyembo comme "Consultante pour la Congrégation des Instituts de Vie Consacrée et les Sociétés de Vie Apostolique", par le Pape François.

Voir lettre de l'Equipe générale

Decret du Pape François le 19 février 2020

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En quoi consiste la mission de consulteur à la Congrégation des Instituts de Vie Consacrée et Société de Vie Apostolique ?

 

Le Concile Vatican II a promu dans l’Eglise, la vision d’une Eglise peuple de Dieu, une Eglise « mystère de communion », dans laquelle, tous les baptisés participent selon leurs charges spécifiques à l’unique mission du Christ.

Le Concile a permis ainsi de développer la mise en pratique de deux principes ecclésiologiques fondamentaux : la synodalité et la corresponsabilité.

 Par Synodalité, on entend la communion de foi et des fidèles. Le mot « synode » signifie, « marcher ensemble » – Laïcs, Pasteurs, Evêque de Rome – car disait Déjà Saint – Jean Chrysostome, « Eglise, signifie synode ».[1]

Une Eglise synodale vit de l’écoute commune de l’Esprit, pour connaître, comprendre et réaliser ce que Dieu veut pour l’Eglise et pour le monde d’aujourd’hui. La coresponsabilité est ainsi une conséquence concrète de la synodalité.

La mission de consulteur se comprend à partir de la vision et du vécu concret de l’Eglise communion, peuple de Dieu. Aussi, le Saint – Siège confie à chaque Dicastère une part de responsabilité de l’unique mission du Christ.

Etre consulteur à la CIVCSVA signifie partager à un titre particulier l’unique mission qui lui est confiée par le Saint – Siège, au service de l’Eglise et de l’humanité, auprès des Instituts de vie consacrée, des Instituts Séculiers, des Sociétés de Vie Apostolique, des formes individuelles de consécration à Dieu ( Vierge consacrée, ermite, veuves), les Associations de fidèles laïques en vue d’être érigées en Institut de Vie Consacrée, les autres formes d’associations, d’unions des Instituts, des Conférences, des Confédérations relatives aux diverses formes de vie consacrée.

Pour être consulteur, le Saint - Père, après avoir recueilli les informations nécessaires et procédé à un discernement très sérieux, nomme le chrétien choisi qui peut être laïc, religieux, clerc[2] et la publication est faite par le Secrétaire d’Etat. Un consulteur a une préparation, une expérience et une expertise requises dans le domaine qui lui est confiée. Il sera sollicité pour apporter sa contribution dans les questions importantes relative à la mission du Dicastère.

Nous remercions le Saint – Siège pour la confiance faite en notre pauvre personne et en notre Congrégation. Nous implorons sur tous les consacrés, l’abondance de l’Esprit Saint, pour qu’ensemble et en Eglise, nous persévérions dans le vécu d’une vie consacrée de disciples, d’humbles serviteurs et servantes, qui accueillent jour après jour la grâce de la fidélité de Dieu.

 Sr Marie Sidonie OYEMBO, cic

 

[1] [1]Le 17 octobre 2015, François a prononcé un discours pour la clôture des commémorations du 50e anniversaire de l’institution du synode des évêques, devant tous les participants du Synode pour la famille, Saint Jean Chrysostome, Explicatio in ps 149 : PG 55, 493.

[2] Certains sont supérieurs majeurs d’Instituts, d’autres des évêques, des théologiens…

Brève Présentation Biographique de Sœur Marie Sidonie OYEMBO

 

Origine et formation

Oyembo Sidonie est née le 5 mai 1968 à Port – Gentil (Gabon), de Samuel OYEMBO et de Jeanne Nicole NGUELE. Elle est le troisième enfant d’une famille de cinq. Baptisé à Saint – Dominique de Moanda dans le Haut – Ogooué, elle recevra la première communion à la Paroisse Saint – Paul des Bois de Port – Gentil et la Confirmation à la Paroisse Saint – Louis de Port – Gentil.

Elle fit ses études primaires dans les écoles catholiques Saint – Paul et Sainte Thérèse de Port – Gentil, puis, ses études secondaires au Collège Lycée Raponda Walker de Port – Gentil et à l’Institution Immaculée Conception de Libreville.

Elle fit ses études Supérieures et Universitaires aux Facultés Catholiques de Kinshasa où elle obtint le Graduat en Philosophie (2015) et y commença ses études de théologie, à L’université de la Bourgogne en France où elle sorti détentrice du Grade de Maîtrise en Sciences Sociales et de l’Education (2009), puis à l’Université A.S Thomas d’Aquin in Urbe - DOMUNI un Master en Théologie (2018). Elle prépare actuellement sa thèse de doctorat en théologie sur l’eucharistie.

Outre les formations académiques, elle a bénéficié de diverses formations pour l’accompagnement humain et spirituel à l’IFHIM au Canada (Sessions d’été 2004) à Mater Christi au Burkina Faso (2006), en RDC et au Gabon. Elle est membre de CAPACITAR INTERNATIONAL.

 

Vie religieuse et mission

Sidonie rentre au postulat des Sœurs de l’Immaculée Conception de Castres à la Maison Mère le 4 septembre 1988. A son entrée au noviciat, elle prend le nom de Sœur Marie Sidonie. Après deux ans de noviciat au même lieu fait profession le 11 août 1991. Elle fit ses vœux perpétuels le 8 septembre 1996 à Port – Gentil (Gabon).

Elle a assumé les missions suivantes : Pastorale paroissiale (catéchèse, jeunes, liturgie, CEVB, Justice et Paix), Pastorale Sociale (Femmes), mission ad extra en RDC,  Pastorale Scolaire (Professeur de philosophie, de Religion et Administration Scolaire, Conseiller d’éducation, Directrice, Proviseur de Lycée, Fondatrice du Centre National d’Animation Religieuse devenu Aumônerie Nationale de l’Enseignement Catholique), Formation (Professeur de Théologie au Grand Séminaire, Formatrice à la vie religieuse, conférences, séminaires, cours de théologie, sessions et retraites), Animation vie consacrée (membres de plusieurs commissions dans sa congrégation (spiritualité, constitutions, formation), responsable de communauté locale, Supérieure Provinciale, Présidente de la Conférence des supérieures Majeurs du Gabon (COSMAG), Présidente de la Confédération des Conférences des Supérieures Majeurs d’Afrique et de Madagascar (COSMAM), Coordinatrice du Comité Vie Consacrée (COSMAG – CEG). Sœur Marie Sidonie est auteur de plusieurs livres et articles sur l’histoire, la vie religieuse, l’éducation…

Aujourd’hui, elle se donne encore dans l’éducation, la formation et l’accompagnement de la vie consacrée. Elle vient d’être nommée par la Pape François, consulteur à la Congrégation des Instituts de Vie Consacrée et Sociétés de Vie Apostolique, le 19 janvier 2021.

Sidonie
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